Les débats Consonances au Théâtre de la Renaissance, Oullins (9 janvier 2012)
Cycle de conférences-débats.commentaires fermé
Le lundi 9 janvier 2011 > 19h
« Et vous trouvez ça drôle : l’humour ça sert à quoi ? »
En lien avec les spectacles Le Misanthrope et Le Songe d’une nuit d’été.
Le rire introduit dans notre quotidien de la surprise, de l’ouverture et relève d’une pratique sociale. Mais l’humour mérite-t-il son nom s’il est utilisé à des fins commerciales ? Car dépossédé de sa fonction première d’émancipation, comme élément de présentation distancié des travers d’une société, ou de l’ambiguïté d’un personnage, ne devient-il pas un simple produit d’aliénation et de séduction ?
Avec Yves Cusset et Jean-Paul Chartier. Animation : Gérard Wormser.
Lieu : Théâtre de la Renaissance, 7 rue Orsel, 69600 Oullins
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La Renaissance et le Musée des Confluences organisent pour la troisième année un cycle de débats de société.
Dérangeants, accessibles, gratuits, troisième saison des Débats Consonances. Les conférenciers et artistes invités confrontent leurs idées avant de laisser place à la discussion avec la salle. Une rencontre entre penseurs et gens de la scène qui partagent avec le public leur désir d’aller au-delà des clichés pour démonter les mécanismes, situer les contextes et les enjeux de la pensée dans l’évolution de la société.
Conviviaux, nous vous proposons de prolonger les échanges autour d’un repas commun, au théâtre (sur réservation, 12€).
Débats organisés par le Théâtre de la Renaissance, le Musée des Confluences, Sens Public et animés par le philosophe Gérard Wormser.
Retrouvez les transcriptions des débats sur : www.theatrelarenaissance.com
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Réservation au 04 72 39 74 91.
Responsable du cycle pour le Musée des Confluences : Catherine Bodet
Régie des débats : Martine Langlois pour le Théâtre de la Renaissance
Appel à contribution / Call for Paper : Médias, Internet, Démocratie / Media, Internet, Democracy
Appels à contribution.commentaires fermé
Colloque International
23 avril 2012, Nouvelle Université Bulgare, Sofia
25 avril 2012, Université Matej Bel, Banská Bystrica
27 avril 2012, Université Pierre Mendès France, Grenoble
« Nouveaux » médias, nouveaux usages, les espaces publics se transforment, les « massmedia » tentent de décliner dans de nouveaux modèles économiques une nouvelle personnalisation de l’organisation de l’information désormais participative où les réseaux sociaux, massivement investis, jouent un rôle incontournable. « Digital natives » ou non, les citoyens développent des usages sociaux avec ordinateurs connectés, téléphones portables ou encore télévisions interactives, autant d’évolutions technologiques qui permettent de nouvelles pratiques, mais qui installent également de nouvelles identités numériques.
Les accès rapides et nombreux aux données numériques, les échanges induits par les outils de communication s’installent ainsi dans les pratiques et bousculent des institutions (l’école, l’université, mais aussi la police) dans le cadre d’une nouvelle écologie (économie ?) cognitive. Les données numériques sont produites par les usages et déterminent ces transformations.
De nouvelles formes d’éditorialisation sont apparues, car l’interactivité des contenus provoque un éclatement de la notion traditionnelle « d’auteur », et donc « d’autorité », au niveau du travail scientifique comme du journalisme. En effet, de nouvelles formes de travail scientifique communautaire renouvellent les formes de publication et d’édition du savoir et les réseaux collaboratifs de chercheurs démultiplient les modes d’évaluation et de validation. Les échanges entre pairs sont ainsi au coeur des sociétés et le numérique est devenu un élément central d’aménagement du territoire et de démocratie.
Le colloque international permettra un échange d’expériences et d’analyses entre spécialistes et citoyens de différents pays de l’Union européenne, pour tenter une liaison entre ces évolutions et les politiques communautaires.
Trois session sont proposées
23 avril 2012, Sofia : Démocratie numérique et e-participation – usages et paradoxes
Vingt ans après les révolutions de velours, la démocratie semble en crise, menacée de trois côtés : des élites assez irresponsables et corrompues ; une certaine apathie et un désintérêt des citoyens vis-à -vis de la politique ; une mondialisation qui impose une domination de l’économique sur le politique.
Tenter de renouveler et de revitaliser la démocratie est ainsi un des plus grands défis à l’est, aussi bien qu’à l’ouest de l’Europe.
2011 et le « printemps arabe » mettent en avant la question des relations entre l’Internet et la participation citoyenne, la démocratie. Deux comparaisons s’imposent :
- vingt ans séparent révolution démocratique et révolution numérique dans le monde postcommuniste alors que le « monde arabe » semble faire cette double expérience en même temps
- les transitions postcommunistes ont été initiées et guidées par des élites alors que dans certains pays arabes on parle de révolution sans élites. Peut-on trouver un rapport entre ce constat, la structure et les usages de l’Internet ?
Un paradoxe concerne surtout les démocraties établies : les jeunes sont parmi les moins actifs en politique, mais parmi les plus actifs dans le virtuel. La e-participation, l’engagement dans le virtuel réussiront-ils à réconcilier démocratie et jeunes ?
Les paradoxes ne manquent apparemment pas. Participation et cyberactivisme signifient souvent non pas plus de démocratie, mais plutôt moins, comme l’atteste la vague du « haterisme » dans le virtuel…
Cette session abordera de nombreuses questions liées en particulier à la cyberpolitique parmi lesquelles :
- L’émergence de l’e-citoyenneté ;
- L’Internet et les contestations ;
- Les réseaux sociaux et la réinvention de la participation ;
- Créativité et militantisme : une explosion des formes non conventionnelles d’engagement ;
- Jeunes et cybermobilisations ;
- Le « haterisme » ou les usages négatifs, xénophobes et extrémistes de la Toile.
25 avril 2012, Banská Bystrica : Nouveaux médias, réseaux sociaux et relations internationales
Les États-Unis essaient actuellement de répondre aux nouveaux enjeux des relations internationales en développant une nouvelle forme de diplomatie. D’après Joseph S. Nye, il s’agit de « mélanger le pouvoir dur et soft en un ‚pouvoir intelligent’, comme [...] du temps de la guerre froide ». Une évolution donc du « soft power », capacité que possède un acteur international, en particulier un État, à attirer, séduire, convaincre, diffuser un modèle culturel, une idéologie et des institutions, et qui permet de tenter de faire coïncider les différents intérêts sur la scène internationale. Cette diplomatie culturelle reste un des piliers fondamentaux de la politique étrangère, mais désormais dans un contexte de transformations des usages et de généralisation des médias sociaux. Revendiquée par Barack Obama lors de sa campagne en 2008, cette doctrine s’est avérée difficile à appliquer et la politique extérieure américaine actuelle, désormais définie comme celle du « smart power », assure une légitimité plus importante sur le plan international, car il s’agit bien de la consécration d’une puissance
douce et acceptable, combinaison du « hard » et du « soft power », synthèse non seulement « intelligente », mais aussi « astucieuse ».
Ce « smart power » est évidemment interdépendant de cette révolution numérique, de l’évolution des nouveaux médias et des médias sociaux, vecteurs majeurs de la mondialisation, d’une sorte de domination consentie parce qu’invisible, a priori douce et subtile qui s’appuie sur la culture comme sur les modes de vie et les usages. Non seulement parce que les nouveaux « majors » de l’Internet sont américains, mais aussi parce que la
planète tout entière s’équipe progressivement de téléphonie mobile, de connexions et que le local s’impose dans ce village global. Qu’elle revendique ou non le droit à la connexion comme un droit humain, la diplomatie culturelle reste un instrument de dialogue, un vecteur de rapprochement culturel et s’adapte aux mutations sociales actuelles. Qu’en est-il réellement après les révoltes dans les pays arabes ? Quelles nouvelles formes de politiques de relations internationales les États doivent-ils (peuvent-ils) mettre en place ?
27 avril 2012, Grenoble : Médias, internet, citoyenneté et innovation
L’innovation est réflexive et se veut performative : elle nous parle de nous, de nos sociétés et de l’état du monde, établit notre confort ou notre aliénation. L’innovation concerne aussi évidemment les médias et internet, de nouveaux espaces publics de médiation dans lesquels se jouent les enjeux les plus anodins : du simple don gratuit d’objet aux luttes politiques et libératrices comme pour les révolutions arabes et pour les
« indignés » de tous les pays. Les individus se rencontrent sur internet pour se parler et s’aimer tandis que les collectifs se constituent pour plus de justice et de liberté. Les échanges interpersonnels se trouvent projetés dans des espaces publics, des blogs, des chats, des réseaux sociaux (Facebook, Twitter, etc.,) des lieux d’échange généralisé de toute sorte : services, animaux, objets, sexe, mariage, informations, publication d’articles et
d’ouvrages en ligne, diffusion libre de musique, etc., l’art aussi investi la toile. Lieux d’expression, d’affirmation de soi, de diffamation et de jugements, de lutte et de contrôle social, les forums d’interpellation publics se sont élargis : de la sphère du virtuel vers la sphère du réel, des utopies et des idées, des mises en forme symboliques vers les sociétés.
Les liens sociaux se sont « virtualisés », ont transgressé les frontières, les motifs de rencontres citoyennes sont innombrables. Aucun doute que les tyrannies, le capitalisme, les bureaucraties, une certaine moralisation des sociétés tentent de contrôler les paroles et les actes citoyens dans ces espaces publics ; contrôle social, pression, désinformation et interdiction sont présents dans les sociétés de l’information et de la communication comme les résistances qui leur répondent.
Ces nouveaux dispositifs de production du savoir posent non seulement la question de l’exercice de la citoyenneté, mais aussi celle des apprentissages et des enjeux pédagogiques de ces nouvelles pratiques. A l’évidence, les technologies de l’information modifient les processus d’apprentissages du fait de la disponibilité immédiate et surabondante des contenus, du manque d’une hiérarchisation analogue à la hiérarchisation traditionnelle, de la dispersion et de l’enchevêtrement des données. Internet n’est pas plus responsable des difficultés de la presse ou de la création artistique que de l’augmentation des pratiques diffamatoires ou encore du rétrécissement des espaces privés. Les usages sont évidemment en cause et il faut aussi considérer Internet comme une forme d’organisation politique, mondiale, et non seulement comme un média, avec cette transformation radicale de
l’espace public, localement comme globalement. La mise en relation des usages et des pratiques culturelles et médiatiques est donc indispensable.
Propositions de contributions
Langues du colloque, communications :
à Sofia, en langue bulgare, française ou anglaise,
à Banská Bystrica, en langue slovaque, française ou anglaise,
à Grenoble, en langue française ou anglaise.
Langue du colloque, contributions écrites : en langue française
Les propositions de contributions (titre, résumé de la proposition, présentation personnelle de l’auteur) sont à adresser avant fin février 2012, simultanément à :
Anna Krasteva, anna.krasteva@gmail.com
Gilles Rouet, gilles.rouet@gmail.com
Serge Dufoulon, serge.dufoulon@upmf-grenoble.fr
Les auteurs retenus devront adresser leur texte avant le 15 mars 2012, ce qui permettra de mettre en oeuvre ensuite une publication rapide au sein de la collection Local & Global, dirigée par Gilles Rouet et François Soulages aux éditions L’Harmattan, Paris.
Un numéro spécial, en langue anglaise, de la Revue de Science Politique de l’Université de Banská Bystrica pourra également être réalisé avec une dizaine de textes choisis par le comité scientifique.
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Media, Internet, Democracy
International Symposium
April 23rd, 2012, New Bulgarian university, Sofia
April 25th, 2012, Matej Bel University, Banská Bystrica
April 27th, 2012, Pierre Mendès France University, Grenoble
Signes et balises. L’édition numérique en histoire de l’art, réalisations, projets, enjeux (13 janvier)
Colloques, Conférences.commentaires fermé
Que devient l’édition d’histoire de l’art, avec le numérique ?
Les chercheurs et les amateurs écrivent/lisent l’histoire de l’art en prenant comme point de départ les objets visuels : comment les nouvelles formes de publications que fait naître le numérique se présentent-elles, quels types d’ouvrages et de lecture sont-ils proposés ? Et de quelle façon les éditeurs prennent-ils en compte cette discipline particulière – quels modèles économiques imaginent-ils, quels aspects juridiques doivent-ils envisager ?
Telles seront certaines des questions soulevées, parmi d’autres, lors de la journée d’étude du 13 janvier 2012 : Signes et balises. L’édition numérique en histoire de l’art, réalisations, projets, enjeux.
Entrée est libre et gratuite.
INHA, 2 rue Vivienne, 75002 Paris
9h30-18h, auditorium de la galerie Colbert
Contact: Anne-Laure Brisac-Chraïbi
Programme
Matinée
9h30-9h45
Ouverture, par Antoinette Le Normand-Romain, directeur général de l’INHA
9h45-10h30
Introduction, par Anne-Laure Brisac-Chraïbi, responsable de l’édition numérique à l’INHA
10h30-11h15
The RIHA Journal, an academic online journal for a network, par Regina Wenniger (Zentralinstitut, Munich)
11h30-11h45 Pause café
11h45-13h15
Trois revues sur une plateforme : In Situ, Images-revues, Les Nouvelles de l’estampe rejoignent revues.org, table ronde avec Béatrice Berchon, Pierre-Olivier Dittmar, Rémi Mathis, animée par Inès de Montesquieu (revues.org)
13h15-14h30 Pause
Après-midi
14h30-15h00
Ecrire l’histoire de l’architecture en Méditerranée orientale : édition papier, blog, revue scientifique, par Mercedes Volait (InVisu, CNRS/INHA)
15h15-16h45
Édition de musées, édition grand public, table ronde avec Emmanuelle Bermès (Centre Pompidou), Benoît Deshayes et Cécile Maisonneuve (RMN), animée par Anne-Laure Brisac-Chraïbi
16h45-17h00 Pause café
17h00-18h00
Droit et image en mode numérique : enjeux et perspectives, par Anne-Laure Stérin, juriste, consultante, chargée de cours à l’université Paris-Est
18h15-19h30 Cocktail de clôture
Soirée-débat autour du livre « Les Arabes peuvent-ils parler » de Seloua Luste Boulbina (14 décembre)
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TEXTURE et LES ÉDITIONS BLACK JACK vous invitent à une Soirée-Débat avec Seloua Luste Boulbina, à l’occasion de la parution de son texte Les Arabes peuvent-ils parler ? que l’auteure présente avec un texte inédit de Edward Saïd, Dans l’ombre de l’Occident.
MERCREDI 14 DÉCEMBRE A PARTIR DE 19 HEURES
Librairie Texture, 94 Av. Jean Jaurès, 75019 Paris – Métro « Laumière » (Ligne 5)
Appel à communications: « La nouvelle alliance industrielle »
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La nouvelle alliance industrielle : Entrepreneurs, innovation et création de valeur dans la mondialisation
Les débats et polémiques sur la mondialisation contribuent assez largement à occulter les véritables dimensions du phénomène. Comme souvent en économie, ces dimensions peuvent apparaître contradictoires.
D’une part, la mondialisation n’est pas un phénomène récent. Elle prend sa source dans la constitution des marchés internationaux. Sa forme moderne n’a pas émergé par hasard. Quelles que soient leurs positions passées ou actuelles dans la division internationale du travail, les États et les entreprises ont été directement ou indirectement à l’origine de l’intensification de la circulation des marchandises, des capitaux et des technologies à l’échelle mondiale. Avec la mondialisation, des formes nouvelles d’organisation ont émergé, comme la mise en réseau des firmes et les fortes imbrications entre l’économie financière et l’économie réelle. Les entreprises avaient besoin d’une libéralisation des marchés de facteurs pour créer de la valeur ; les États et les organisations internationales ont aménagé le processus au plan institutionnel. Au surplus, la déréglementation des marchés financiers s’est accompagnée de l’apparition de nouveaux marchés, destinés à couvrir des situations d’incertitude de plus en plus volatiles, comme les opérations de couverture et les risques de contrepartie des entreprises.
D’autre part, la mondialisation n’est pas un deus ex machina qui s’imposerait comme une perspective fatale aux acteurs économiques. Les États et les entreprises subissent, à des degrés variables, le poids de la mondialisation, tout en cherchant à mettre en Å“uvre les moyens de s’en émanciper et d’en tirer bénéfice, dans les pays du nord comme dans les pays du sud. À cet égard, la progression des interdépendances entre les États se traduit par des tentatives de redéfinition des objectifs et des formes de la politique économique, qui tiennent compte, d’un côté, du principe de souveraineté et des intérêts nationaux, et de l’autre, de l’accélération de la transmission des fluctuations internationales et des effets induits sur les marges de manÅ“uvre de l’intervention publique.
Les pratiques artistiques au coeur des politiques de l’enfance (13-14 décembre)
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Aller sur l’espace de recherche « POLEART » (revue Sens Public)
JOURNÉES D’ÉTUDES FRANCO QUÉBECOISES « POLEART »
LES PRATIQUES ARTISTIQUES AU CÅ’UR DES POLITIQUES DE L’ENFANCE
13 et 14 décembre 2011, Lyon
Dans le cadre de la recherche ANR « Politiques de l’enfance : le cas de l’éducation artistique » (POLEART)
Journées proposées par le laboratoire « Éducation cultures et politiques » Lyon2/IFE ENS et les laboratoires associés Centre Max Weber Lyon 2 et Proféor- CIREL Lille 3.
Lieu : Institut Français de l’Éducation (IFE) – École Normale Supérieure de Lyon
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Mardi 13 décembre 2011
Dans les locaux de l’IFE, salle n°1
9h – 10h Accueil
10h – 10h30 Ouverture des Journées d’études (Nathalie Fournier, Vice-présidente Recherche Lyon2, Yves Winkin, Directeur de l’IFE/ENS) et présentation des Journées (Alain Kerlan, Université Lyon2, responsable de la recherche ANR POLEART)
Première session : Art, démocratie éducation
Modération Laurence Loeffel, Université Lille 3
10h30 – 11h30 Joëlle Zask (Université Aix-Marseille) Les pratiques artistiques comme éducation démocratique, en dialogue avec Laurence Loeffel (université Lille)
11h30 – 12h15 Catherine Grivet Bonzon (docteur en sciences de l’éducation, Université Lyon2) Les pratiques musicales des jeunes comme éveil à la démocratie
12h15 – 13h00 Alain Kerlan (Université Lyon2) L’éducation artistique et le « partage du sensible »
13h00 – 14h30 Pause déjeuner
Deuxième session Éducation artistique et Politiques de l’enfance : France, Québec, Royaume-Uni, USA, approches comparées
Modération André Robert (Université Lyon2)
14h30 – 16h30 Éclairages croisés, table ronde
Intervenants :
- Marie-Christine Bordeaux (Université Stendhal Grenoble 3) : « L’éducation aux arts et à la culturedans les politiques culturelles en France. Eléments de bilan »
- Alice Odin, (Courtault Institute of Art, London) : « éducation artistique et politiques de l’enfance au Royaume-Uni et aux USA »
- Myriam Lemonchois (Université de Montréal) : « éducation artistique et politiques de l’enfance au Québec »
- Sabine de Ville (Association Culture et démocratie, Bruxelles) « éducation artistique et politiques de l’enfance en Belgique. L’association Culture et démocratie »
16h30 – 17h00 Pause
17h00 Christian Lallier (anthropologue cinéaste, chargé de mission « Culture et création », IFE/ENS Lyon) La parole qui fait lien. Présentation et projection du film de Christian Lallier « Bako Dagnon, l’esprit de la griotte » (durée 12 minutes)
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Mercredi 4 décembre 2011
Dans les locaux de l’ENS, amphithéâtre Descartes
Première session : Art, démocratie éducation (suite)
Modération : Alain Kerlan
9h – 10h Christian Ruby (philosophe, rédacteur en chef de la revue Raison présente) : Passer au-delà des dilemmes du consensus, à la lumière de l’art contemporain
Deuxième session : « Politiques des artistes »
Modération : Alain Kerlan
10h – 11h Jean-Paul Filiod (Université Lyon1), Dalila Boukacem (doctorante Lyon2), Céline Choquet (doctorante Lyon2) : Comment des artistes « intervenants » et « en résidence » parlent-ils de leur engagements éducatif ? Éléments de recherches en cours.
11h – 11h30 Pause
11h30 – 12h30 Anne Lopez (chorégraphe, Compagnie Les gens sur le quai, Montpellier) et Pierre Laurent (plasticien, Centre Enfance Art et Langages) : L’expérience de la résidence en milieu scolaire. Qu’est-ce que l’artiste vient faire à l’école ?
12h30 – 14h Pause repas
Troisième session : « Politiques des artistes » (suite)
Modération : Jean-Paul Filiod et Jean-Marie Sauboua
14h00 – 15h00 Marie-Julienne Robillaud (artiste plasticienne, Ecole des Beaux-arts de Bourges) et Marc Decaux, artiste et directeur de l’Espace culturel d’art contemporain, Nancy, Association ICAR) L’expérience de la résidence en milieu scolaire. Qu’est-ce que l’artiste vient faire à l’école ?
15h00 – 16h30 Table ronde : Points de vue politiques sur l’art et l’éducation artistique
Intervenants :
- Stéphane Doré, Directeur de l’École des Beaux-arts de Bourges
- Véronique Basile, Présidente de l’association ICAR (Initiative Culturelle et Artistique de Rencontres, Nancy)
- Alain Lovato, artiste plasticien, président de la MAPRA (Maison des Arts Plastiques Rhône Alpes
- Maguy Marin (sous réserve)
16h30 – 17h Synthèse Denis Cerclet (Université Lyon2) et clôture
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Pour tout renseignement et inscription :
alain.kerlan@univ-lyon2.fr
andre.robert@univ-lyon2.fr