« L’Enfant, l’art, l’artiste. Rencontres et résonances. » Grand événement 40 ans de l’Université Lumière Lyon 2 (30 mai – 29 juin).
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Dossier de recherche POLEART relatif à l’événement, à consulter sur la revue web Sens Public.
Organisées à l’initiative d’Alain Kerlan, professeur à l’Université Lumière Lyon 2, spécialiste de l’art en éducation, ces rencontres et résonances autour du thème L’enfant, l’art, l’artiste, viennent clore le projet de recherche « Poleart » : Politique de l’enfance : le cas de l’éducation artistique, financé et soutenu par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR). Des invités de renom tels que Marie Desplechin, Didier Lockwood ou Robin Renucci sont attendus.
De 2010 à 2012, dans le cadre d’une recherche ANR, une équipe de chercheurs est allée sur les lieux où s’effectue aujourd’hui la rencontre du monde de l’enfance et des mondes de l’art, de l’enfant et de l’artiste. Ces chercheurs ont observé et écouté les enfants et les artistes. Cette manifestation est une mise en lumière de ce travail.
Ce que l’art(iste) dit de nous aujourd’hui
Les dispositifs d’éducation artistique occupent désormais une place croissante dans les politiques de l’enfance. En particulier, les résidences d’artistes, peuvent être considérées comme des « laboratoires » des nouvelles relations de notre société à son enfance. Ces lieux nous parlent conjointement de l’enfance contemporaine et de l’art d’aujourd’hui.
Exposer, expliquer, débattre : une manifestation artistique, scientifique, pédagogique
Entre mai et juin, le Musée des moulages de l’Université Lyon 2 accueille une exposition qui s’efforce de donner à voir et à mieux comprendre ce qui se joue en ces lieux où des artistes engagent des enfants dans une démarche artistique.
Les artistes invités s’emparent de l’espace du musée pour mettre en lumière la rencontre entre leur démarche artistique et l’expérience des enfants engagés dans la création. Parallèlement, un colloque, des conférences, des tables rondes seront programmés, pour y présenter ce que ces trois années d’investigation ont permis de dégager, mais aussi pour en débattre et le prolonger.
Cette manifestation scientifique, artistique, et pédagogique, comporte cinq principales dimensions :
1. L’exposition proprement dite
Les artistes intervenants sont sollicités pour restituer, dans l’espace du musée, de façon visuelle, sonore, et plus largement, sensorielle, quelques moments, tirés de leur expérience en résidence, de « résonance » entre leur propre Å“uvre et ce que « font » les enfants. Chaque artiste est invité à concevoir son installation en intégrant deux principales demandes : 1) donner à voir l’Å“uvre de l’artiste, mais aussi le travail des enfants avec l’artiste, et 2) dialoguer avec les Å“uvres du musée lui-même, les moulages qu’il abrite.
Commissaire de l’exposition : Patrice Charavel (directeur du Musée des moulages), avec la collaboration de Alain Kerlan (Lyon 2, responsable de la recherche ANR « Poleart »)
2. La manifestation scientifique
Au cœur de la manifestation, un colloque est programmé, du 5 au 7 juin :
Par ailleurs, chaque semaine, est proposée une rencontre scientifique ou artistique sous la forme d’une conférence, d’une table ronde ou d’un évènement.
Responsables du colloque : André Robert, Alain Kerlan (Lyon 2, laboratoire ECP, équipe ANR Poleart)
3. Les interventions et « performances »
La forme « exposition » ne peut suffire à elle seule à rendre compte des différents aspects que peuvent revêtir les résidences artistiques. C’est pourquoi quelques moments dans la programmation sont prévus, présentant le travail des enfants avec les artistes sous la forme d’une « performance », d’une représentation publique.
4. L’accueil, l’accompagnement des publics
A l’intention des visiteurs, et plus particulièrement des enfants, les artistes invités animent quelques séances.
5. L’ espace documentaire
Dans cet espace/temps spécifique, le travail de longue haleine mené par les artistes est présenté et développé selon des formes et des formules appropriées : vidéos, photographies, traces des travaux d’enfants, documents écrits…
Intervenants pressentis
La manifestation donne la parole et offre son espace :
- aux artistes ayant une expérience en résidence (plasticiens, photographes, chorégraphes, musiciens, écrivains…) : Sophie Chollet, Erutti, Pierre Laurent, Camille Llobet, Yveline Loiseur, Bérangère Valour…
- aux enseignants-chercheurs français et étrangers (brésiliens et québécois essentiellement)
- aux intervenants issus du monde de l’art et des institutions : Marie Desplechin, Didier Lockwood, Pierre Péju, Robin Renucci, Patrick Laupin, Jean-Daniel Dupuy…
- aux personnalités engagées sur les questions d’art, de l’enfance et de l’éducation
Liens utiles :
> Équipe d’Accueil (EA) Éducation, Cultures, Politiques
> Musée des moulages de l’Université Lumière Lyon 2
Contacts :
L’Enfant, l’art et l’artiste. Rencontres et résonances
Samia Langar
Responsable de l’organisation de l’événement
Institut des Sciences et des Pratiques d’Education et de Formation
Université Lumière Lyon 2
Tél. : 06 65 79 21 22
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40 ans de l’Université Lumière Lyon 2
Magali Guénot
Chargée de communication – relations presse
Service de la valorisation et de la communication
18 quai Claude Bernard – Lyon 7e
Tél. : 04 78 69 70 49
Colloque 56 : « Les enjeux de la lecture numérique : de l’Ipad à Jules Verne » (mardi 7 mai 2013)
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Date : mardi 7 mai 2013 de 9h à 18h30
Lieu : Université Laval (Québec)
Ce colloque porte sur les enjeux actuels du livre numérique. Ils sont de différentes natures :
1. Mutation des pratiques de lecture au regard de la mobilité, des supports technologiques utilisés, de la multiplication des écrans.
2. Evolutions des pratiques culturelles au sens très large (information, divertissement, médias, culture, etc.) pour beaucoup présentes sur les mêmes terminaux, les tablettes principalement, qui mettent en concurrence films, musique, livres, réseaux sociaux, mails, etc.
3. Questions économiques liées au prix du livre, au droit d’auteur, à la structuration de la filière, à la constitution du catalogue.
4. Transformations des pratiques auctoriales, écriture du livre au format numérique via des outils spécifiques.
Son originalité vient du fait qu’il ne cherche pas à faire le tour de ces questions, à les étudier en profondeur car cette démarche existe déjà et de nombreux événements scientifiques peuvent en témoigner. Certes, la filière est loin d’être constituée, le marché ne s’est pas stabilisé, le gouffre de Moore n’est pas franchi, comme le répètent bien des travaux qui qualifient ce secteur de marché de niche opportuniste, mais bien des initiatives industrielles éclosent et plusieurs éditeurs (Decitre en France et Demarque tout dernièrement au Canada) lancent des signaux forts d’intérêt et d’investissement. Il y a peu de lecteurs, mais il y en a et ils ne cessent de se multiplier. C’est pourquoi, nous souhaitons dans ce colloque, en premier lieu, présenter des études de cas et des analyses de terrain incarnant ces différentes questions (autrement dit, quelles sont les solutions proposées ou inventées par certains acteurs), et, en deuxième lieu, intégrer le regard des professionnels à l’Å“uvre dans la constitution de l’offre de livre numérique (éditeurs, revendeurs et auteurs).
Enfin, nous souhaitons une couverture internationale des cas étudiés car aucun pays ne suit les mêmes pistes de croissance ou du déploiement du livre numérique.
Informations complémentaires :
Programme disponible en cliquant ici.
Conférence : l’enfant, coeur de cible de la publicité (jeudi 11 avril 2013)
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Date : jeudi 11 avril 2013 Ã 19h
Lieu : Bibliothèque Mouffetard – 74-76 rue Mouffetard – 75005 Paris
Intervenant : Monique Dagnaud, directrice de recherches au CNRS. Elle a, par ailleurs, été membre du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et auteur de Enfants, consommation et publicité télévisée.
Avec l’essor des technologies de l’information et de la communication, l’univers médiatique renforce son influence sur les jeunes ; il est désormais un support important de leur culture, de leur socialisation et de leur éducation. Quelles sont les stratégies mises en place par les publicitaires ? Quels sont les effets sur le comportement culturel et social des enfants/adolescents ?
Entrée libre.
Conférence-débat autour du livre de Roland Gori « La Dignité de penser » (samedi 6 avril 2013)
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Date : samedi 6 avril 2013 Ã 10h
Lieu : Bibliothèque Mouffetard – 74-76 rue Mouffetard – 75005 Paris
Intervenants : Gisèle Berkman, Vincent de Gaulejac, Roland Gori, Michèle Riot-Sarcey
Dans le cadre du samedi du livre, en partenariat avec le Collège International de Philosophie.
Entrée libre.
Table ronde : Autour de Merleau-Ponty (jeudi 28 mars 2013)
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Date : jeudi 28 mars 2013 – 19h
Lieu : Espace éducatif du Jeu de Paume – 1 place de la Concorde – 75008 Paris
La librairie du Jeu de Paume vous convie à une table ronde avec Emmanuel Alloa, Mauro Carbone, Maël Renouard, et Clélia Zernik à l’occasion de la parution des livres collectifs Du sensible à l’œuvre – esthétiques de Merleau-Ponty, sous la direction d’Emmanuel Alloa et Adnen Jdey aux éditions La Lettre volée, et L’Emprise du visuel – Merleau-Ponty et la question des images, sous la direction de Mauro Carbone aux éditions Metispresses.
Emmanuel Alloa est maître de conférences au département de philosophie de l’Université de Saint-Gall (Suisse) ainsi que Senior Research Fellow au Centre Eikones à Bâle.
Mauro Carbone, anciennement professeur d’esthétique contemporaine à l’Université de Milan, est professeur d’esthétique à la Faculté de philosophie de l’Université Jean Moulin à Lyon 3. Il est l’un des fondateurs et des directeurs de la revue Chiasmi International. Il codirige également la collection « l’Å’il et l’Esprit » aux éditions Mimesis.
Maël Renouard a enseigné à l’Université Paris-I, comme AMN et comme ATER (2002-2006), puis à l’ENS Ulm (2006-2009). Il est également membre du centre Littérature, Philosophie et Morale (CRRLPM).
Clélia Zernik est professeur de philosophie de l’art à l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Séminaire du CREA (vendredi 1er février 2013)
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Date : vendredi 1er février 2013
Horaires : de 10h à 12h.
Lieu : Université Lyon 2, Campus Porte des Alpes, salle 218 K (plan d’accès disponible sur http://www.univ-lyon2.fr/plans-d-acces/
Michèle Leclerc-Olive interviendra dans le cadre du séminaire du CREA pour présenter son travail sur le temps à partir de l’Å“uvre de George Herbert Mead.
Cette séance prendra appui sur la sortie de l’ouvrage de Michèle Leclerc-Olive et Cécile Soudan La philosophie du temps de G.H. Mead en perspective(s) paru début novembre aux éditions de l’EHESS.
http://www.editions.ehess.fr/ouvrages/ouvrage/la-philosophie-du-temps-de-gh-mead-en-perspectives/
Michèle Leclerc-Olive est Chargée de recherche 1 au CNRS, HDR à l’IRIS (l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux : Sciences sociales, Politique, Santé). Elle développe un programme de cherche intitulé « Penser et agir en situation d’incertitude » et s’intéresse à la manière dont, dans d’autres cultures, en Afrique et en Amérique Latine, par exemple, se négocie la tension entre mémoire et expérience.
La question du temps prend un tour nouveau au début du XXe siècle avec la théorie de la relativité d’Einstein. Henri Bergson (Durée et simultanéité. A propos de la théorie d’Einstein, 1922) et A.N. Whitehead (The Principe of Relativity, 1922) s’en saisissent pour mettre en avant la «croissance perpétuelle du monde», la fluence de toutes choses et critiquer les approches qui se fondent sur des catégories statiques.
Whitehead et Bergson ont en commun leur proximité avec William James et leurs théories ont été influencées par cette approche pragmatiste du processus et de l’expérience.
Michèle Leclerc-Olive et Cécile Soudan nous permettent d’accéder, en français, aux textes que Georges Herbert Mead – influencé lui aussi par James – a consacré à la question du temps dans une perspective sociale au cours des années 30. Quatorze textes sont publiés dans cet ouvrage La philosophie du temps de G.H. Mead en perspective(s) parmi lesquels : Le présent locus de la réalité, La nature sociale du présent, L’organisation des perspectives ou encore Passage, processus et permanence.
En introduction à cet ouvrage, Michèle Leclerc-Olive nous donne à lire des chapitres très intéressants sur les œuvres de Mead, la philosophie américaine des années 20 et une réflexion sur la traduction.
Colloque du Centenaire d’Henri Thomas (vendredi 7 décembre 2012)
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Date : vendredi 7 décembre 2012
Horaire : 8h30 Ã 18h
Adresse : École Doctorale 131 – Littérature au Présent – C.E.R.I.L.A.C. EA 4410.
Université Paris Diderot (Paris 7) – 16 rue Marguerite Duras – 75013 Paris
Bâtiment Grands Moulins
UFR Lac, Hall C
(Métro : Bibliothèque François Mitterrand, sortie rue Goscinny ; Bus : 89, 62, 64, 325)
L’un de derniers textes critiques de Derrida porte sur Le parjure de Henri Thomas. Le colloque du centenaire Henri Thomas permettra de mieux connaître cette Å“uvre.
Programme détaillé en cliquant ici.
Plus d’informations sur le site :Â http://henrithomas.pbworks.com
2ème rendez-vous des ateliers « Ville – Chantier poétique » : « Regards croisés sur Athènes et Téhéran » (samedi 8 décembre 2012)
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Date : le samedi 8 décembre 2012.
Horaires : de 18 heures à 20 heures.
Lieu : Salons de l’hôtel Lutetia – 45 boulevard Raspail – 75006 Paris (Métro Sèvres-Babylone)
Anne Dimitriadis, metteur en scène d’origine grecque, Sorour Kasmaï, écrivain francophone d’origine iranienne et Françoise Parraud, graphiste, lancent le projet : Ville – chantier poétique. Dialogue entre 2 villes et regards croisés. Mises en espace de lectures avec des comédiens, rencontres, expositions, projections, littérature, poésie, sociologie, urbanisme, photographie, cinéma… une proposition multimédia et multiforme pour comprendre et ressentir ce qui rapproche, sépare, oppose et se ressemble dans les 2 villes choisies pour ce premier projet : Athènes et Téhéran.
Au programme :
Christos Chryssopoulos romancier grec né en 1968, est aussi essayiste et traducteur. Il est l’auteur d’une douzaine d’ouvrages dont, chez Actes Sud, Le Manucure (2005), Monde clos (2007) et La destruction du Parthénon en 2012. A travers son nouveau roman Une lampe entre les dents(Actes Sud), il évoque Athènes dans la crise au jour le jour et les modifications que cette crise apporte au paysage urbain…
Sepideh Farsi cinéaste iranienne née en 1965, vit entre Paris et Téhéran depuis 1984. Elle réalise des courts-métrages de fiction, des documentaires et ses premiers long-métrages : Rêves de Sable (2003), Le Regard (2005), suivi de Téhéran sans autorisation (2009) et La maison sous l’eau (2010). Elle vient juste de finir La Grèce nuageuse, documentaire qui a été tourné en Grèce en 2011-2012. Téhéran sans autorisation, dont nous projetterons des extraits, a été tourné avec un téléphone portable ; il a reçu de nombreux prix dans les festivals.
Tarifs : 12 €, 10 €, 6 € (adhérent) et 5 € (étudiant). Sur place ou réservation par mail : contact@annedimitriadis.com.
Devenez adhérent de l’association « Ville-chantier poétique »Â Vous bénéficierez automatiquement du tarif préférentiel de chaque nouvelle rencontre, expo, projection… sur toute la durée du projet « Athènes-Téhéran ». http://www.annedimitriadis.com/lassociation.html
Conférence : « La circulation des savoirs. Explorer les conditions d’une mondialisation solidaire » (lundi 26 novembre 2012)
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Date : Lundi 26 novembre 2012
Lieu : Cité, Université de Montréal – 2900, boul. Édouard-Montpetit – Montréal (Québec) – Pavillon Roger-Gaudry, Porte V-13-1.
Horaire : 11h45
Comment la pratique des réseaux détermine-t-elle aujourd’hui la circulation des savoirs ?
Les aptitudes à collaborer de manière décentralisée se sont développées, de sorte qu’il est possible d’opposer assez simplement la sphère de la consommation où le marketing individualise « besoins » et « clients » avec la fiction de la « demande », et celle de la coopération, où s’expérimentent des manières d’être ensemble orientées par une temporalité de projets. Ici, le « monde de la vie » s’insinue dans une continuité de sens hypothétique, ainsi les tâches parcellaires associées aux technologies contemporaines (entretien de réseaux, mises en forme, gestion d’archives, veille en tout genre, apprentissages finalisés ou non) donnent à nos vies urbaines et connectées une dimension imaginaire et des horizons portés par nos technologies de la connaissance.
Gérard Wormser est philosophe et éditeur, fondateur et directeur de Sens Public qu’il a conçu comme un réseau de ressources centré sur une revue.
Plus d’information en cliquant ici.
Journée d’étude sur Violette Leduc (samedi 16 juin 2012)
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Date : Samedi 16 juin 2012
Horaire : 10h à 18h
Adresse : Casa internazionale delle donne di Roma – Via della Lungara, 19 – 00165 ROME – ITALIE
Pour plus de détail sur la manifestation, cliquer ici.
Alison Péron (doctorante du CREF&G/LF) organise, dans le cadre du programme de Doctorat international en études de genre, une journée d’études sur Violette Leduc à l?université La Sapienza de Rome (Italie).