Journée d’étude euro-méditerranéenne : « Cultures et mobilités dans l’espace euro-méditerranéen. Quelles coopérations scientifiques et universitaires ? » (mardi 4 juin 2013)
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Date : mardi 4 juin 2013 Ã partir de 15h.
Lieu : Pôle juridique et judiciaire • amphi 2N • Université Montesquieu – Bordeaux IV – 35 place Pey Berland 33000 BORDEAUX
C’est dans la vie quotidienne, dans le local, que se révèlent les éléments les plus fondamentaux qui nous construisent, nous appartiennent et nous définissent. C’est dans cette même quotidienneté que nos expériences et nos apprentissages se structurent, appuyés sur des valeurs sociales qui participent à la construction de l’identité collective des groupes auxquels nous appartenons. La culture peut s’entendre ainsi à la fois sous l’axe de l’appartenance légitime à un groupe référé à de multiples critères (ethnique, religion, histoire, langue, genre…) et comme sensibilisation aux différences qui ouvrent un espace cognitif propice au rapprochement et à la compréhension des diversités.
Cultures et apprentissages se tissent ainsi sur la toile de l’expérience, révélant compétences et connaissances. Le développement de l’espace euro-méditerranéen de l’enseignement supérieur et de la recherche permet aux milieux scientifiques et universitaires de vivre de riches confrontations qui ouvrent sur des projets innovants et créatifs. Les différents programmes proposés par la Commission européenne contribuent aux échanges interculturels et offrent un cadre propice aux coopérations scientifiques et universitaires liant les deux rives de cet espace qui fut pendant longtemps celui des échanges et des transports, le centre du monde connu.
Dans ce contexte, émergent de nouvelles alliances institutionnelles qui participent à la définition d’une citoyenneté euro-méditerranéenne.
Appréhender, tenter de comprendre les cultures de part et d’autre de la Méditerranée revient ainsi à se saisir des multiples expériences, à se sensibiliser aux différences, à identifier comment les collaborations scientifiques et universitaires peuvent prendre appui sur cet espace cognitif pour le développer autour de projets formatifs et de recherche. Nous considérerons quelles sont les dynamiques à l’œuvre, quelles évolutions sont possibles et souhaitables notamment au niveau des outils, instruments et programmes en lien avec l’extension du Processus de Bologne et le dispositif Erasmus pour Tous proposé par la Commission Européenne dès 2014.
Programme détaillé disponible en cliquant ici.
Bulletin d’inscription à retourner, disponible en cliquant ici.
Séminaire Sens Public/IRI “Écritures numériques et éditorialisationâ€: « Lecteur, auteur : questions de droits » (jeudi 16 mai 2013)
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Date : le jeudi 16 mai 2013, à 17h30 (à Paris) et à 11h30 (à Montréal).
Lieu :
- À Paris : Centre Georges Pompidou, Paris 4ème, dans la Salle Triangle. On accède à la salle de l’esplanade Pompidou. L’entrée se trouve à droite de l’entrée principale du centre Pompidou (à droite de la librairie).
et
- À Montréal : Université de Montréal, dans la salle P217 du Pavillon Roger-Gaudry, 2900, boulevard Édouard-Montpetit.
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Inscriptions (entrée libre) : sur le formulaire qui se trouve à cette page : http://www.iri.centrepompidou.fr/evenement/nouvelles-formes-editorialisation/
Nous vous remercions de votre intérêt pour nos événements.
Plus d’information sur le site http://seminaire.sens-public.org/
La question des modèles économiques ne peut être affrontée sans une réflexion sur les droits d’auteur. Mais peut-on encore parler d’auteur lorsqu’on se réfère aux producteurs de contenus numériques ? Comment ne pas prendre en compte toutes les pratiques d’éditorialisation de contenus qui produisent des objets sans pour autant pouvoir être considérées comme des gestes “d’auteurâ€Â ? Comment adapter l’idée de “droit†à ces nouvelles pratiques ?
Séminaire Sens Public/IRI “Écritures numériques et éditorialisationâ€: « Modèles économiques de l’écriture numérique » (jeudi 18 avril 2013)
Culture numérique, Non classé, Séminaire Sens Public.commentaires fermé
Date : le jeudi 18 avril 2013, à 17h30 (à Paris) et à 11h30 (à Montréal).
Lieu :
- À Paris : Centre Georges Pompidou, Paris 4ème, dans la Salle Triangle. On accède à la salle de l’esplanade Pompidou. L’entrée se trouve à droite de l’entrée principale du centre Pompidou (à droite de la librairie).
et
- À Montréal : Université de Montréal, dans la salle P217 du Pavillon Roger-Gaudry, 2900, boulevard Édouard-Montpetit.
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Inscriptions (entrée libre) : sur le formulaire qui se trouve à cette page : http://www.iri.centrepompidou.fr/evenement/nouvelles-formes-editorialisation/
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L’exigence de gratuité sur Internet opposée à la réclamation d’une juste rétribution des producteurs de contenu n’a cessé de poser question ces dernières années, en particulier dans les domaines de la musique, de la presse et de l’édition. Comment soutenir financièrement des sites Internet spécialisés, faire vivre des activités créatives dont la productivité ont un coût, là où règnent les sources d’informations gratuites, parfois le piratage, et les grands sites commerciaux du web ?
Conférence : l’enfant, coeur de cible de la publicité (jeudi 11 avril 2013)
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Date : jeudi 11 avril 2013 Ã 19h
Lieu : Bibliothèque Mouffetard – 74-76 rue Mouffetard – 75005 Paris
Intervenant : Monique Dagnaud, directrice de recherches au CNRS. Elle a, par ailleurs, été membre du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et auteur de Enfants, consommation et publicité télévisée.
Avec l’essor des technologies de l’information et de la communication, l’univers médiatique renforce son influence sur les jeunes ; il est désormais un support important de leur culture, de leur socialisation et de leur éducation. Quelles sont les stratégies mises en place par les publicitaires ? Quels sont les effets sur le comportement culturel et social des enfants/adolescents ?
Entrée libre.
Table ronde : Autour de Merleau-Ponty (jeudi 28 mars 2013)
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Date : jeudi 28 mars 2013 – 19h
Lieu : Espace éducatif du Jeu de Paume – 1 place de la Concorde – 75008 Paris
La librairie du Jeu de Paume vous convie à une table ronde avec Emmanuel Alloa, Mauro Carbone, Maël Renouard, et Clélia Zernik à l’occasion de la parution des livres collectifs Du sensible à l’œuvre – esthétiques de Merleau-Ponty, sous la direction d’Emmanuel Alloa et Adnen Jdey aux éditions La Lettre volée, et L’Emprise du visuel – Merleau-Ponty et la question des images, sous la direction de Mauro Carbone aux éditions Metispresses.
Emmanuel Alloa est maître de conférences au département de philosophie de l’Université de Saint-Gall (Suisse) ainsi que Senior Research Fellow au Centre Eikones à Bâle.
Mauro Carbone, anciennement professeur d’esthétique contemporaine à l’Université de Milan, est professeur d’esthétique à la Faculté de philosophie de l’Université Jean Moulin à Lyon 3. Il est l’un des fondateurs et des directeurs de la revue Chiasmi International. Il codirige également la collection « l’Å’il et l’Esprit » aux éditions Mimesis.
Maël Renouard a enseigné à l’Université Paris-I, comme AMN et comme ATER (2002-2006), puis à l’ENS Ulm (2006-2009). Il est également membre du centre Littérature, Philosophie et Morale (CRRLPM).
Clélia Zernik est professeur de philosophie de l’art à l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Cycle de « brunchs philo » avec Véronique Le Ru à Villeurbanne (samedi 6 avril 2013)
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Date : le samedi 6 avril 2013 Ã 11h.
Lieu : Maison du livre, de l’image et du son, 247 cours Émile Zola, à Villeurbanne.
Les débats Consonances au Théâtre de la Renaissance (Oullins) : « Les animaux en toute conscience » (25 mars 2013)
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Le lundi 25 mars 2013 > 19h00
En lien avec le spectacle Nature aime à se cacher, mis en scène par Jacques Bonnafé.
Qui eût cru que l’homme, ce sommet de l’évolution, serait un jour à même de limiter et de réduire la variété même du monde ? De plus, comment ne pas voir qu’après le contrat social, un nouveau pacte s’impose avec les autres vivants ? Le théâtre peut certainement nous aider à avancer dans cette voie.
La danse, qui magnifie le corps humain, est propice à exprimer cette mulation de notre expérience. L’Après-midi d’un faune fut un manifeste de la danse moderne. La danse attire aussi l’enfant qui joue à cache-cache, s’émerveille du mimétisme, apprivoise de petits animaux.
À travers notre rapport aux animaux, capables de ruser mais non pas de mentir, nous mettons en scène notre relation à notre nature. Le reflet de l’humanité dans le miroir que lui offrent les animaux est au cÅ“ur de notre culture, des Métamorphoses d’Ovide au spectacle Nature aime à se cacher. Kafka a su interroger la condition humaine en créant des personnages de grands singes. Alors que nous détruisons leur habitat naturel, notre parenté avec eux se révèle chaque jour davantage. Nous sommes aussi une espèce dont l’équilibre est rompu. Le règne de Prométhée, le voleur de feu, n’est-il pas une aventure sans terme ? Autour du spectacle présenté au Théâtre de la Renaissance, notre débat interrogera ces énigmes.
Intervenants :
Anne-Caroline PREVOST-JUILLIARD : biologiste de la conservation (Muséum d’Histoire naturelle de Paris) et co-auteur de l’ouvrage L’exigence de la réconciliation, Biodiversité et société en collaboration avec Cynthia Fleury (2012).
Éric BARATAY : professeur d’histoire contemporaine (Université Jean-Moulin, Lyon 3), auteur de Le point de vue animal. Une autre version de l’histoire (2012).
Modérateur : Gérard WORMSER, philosophe.
Lieu : Théâtre de la Renaissance, 7 rue Orsel, 69600 Oullins
Cliquer ici pour des informations complémentaires sur cette séance.
* * *
La Renaissance et le Musée des Confluences organisent pour la quatrième année un cycle de débats de société.
Dérangeants, accessibles, gratuits, quatrième saison des Débats Consonances. Les conférenciers et artistes invités confrontent leurs idées avant de laisser place à la discussion avec la salle. Une rencontre entre penseurs et gens de la scène qui partagent avec le public leur désir d’aller au-delà des clichés pour démonter les mécanismes, situer les contextes et les enjeux de la pensée dans l’évolution de la société.
Débats organisés par le Théâtre de la Renaissance, le Musée des Confluences, Sens Public et animés par le philosophe Gérard Wormser, Fondateur et Directeur de la revue Sens public.
Sens public a crée un dossier permanent où sont édités les débats sous la responsabilité d’Aurélie Belleville.
Retrouvez les transcriptions des débats sur : www.theatrelarenaissance.com
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Réservation au 04 72 39 74 91.
Responsable du cycle pour le Musée des Confluences : Catherine Bodet
Séminaire Sens Public/IRI “Écritures numériques et éditorialisationâ€: « Supports : les nouveaux matériaux d’écriture » (jeudi 21 mars 2013)
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Date : le jeudi 21 mars 2013, à 17h30 (à Paris) et à 11h30 (à Montréal).
Lieu :
- À Paris : Centre Georges Pompidou, Paris 4ème, dans la Salle Triangle. On accède à la salle de l’esplanade Pompidou. L’entrée se trouve à droite de l’entrée principale du centre Pompidou (à droite de la librairie).
et
- À Montréal : Université de Montréal, dans la salle P217 du Pavillon Roger-Gaudry, 2900, boulevard Édouard-Montpetit.
Direct sur polemictweet
Inscriptions (entrée libre) : sur le formulaire qui se trouve à cette page : http://www.iri.centrepompidou.fr/evenement/nouvelles-formes-editorialisation/
Nous vous remercions de votre intérêt pour nos événements.
Plus d’information sur le site http://seminaire.sens-public.org/
Si le numérique a fait révolution, c’est aussi en terme de nouveaux supports offerts à l’usage courant comme à la créativité. L’écran est ainsi devenu un objet de production et de lecture quotidien, jusqu’à l’invention des écrans ‘tactiles’ introduisant un rapport à la fois affectif et interactif avec les éléments technologiques. Après le volumen et le codex, la plume et le stylo, le livre, la télévision, que peut-on dire de ces rapports aux nouveaux supports ?
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avec Fabien Audusseau, Charlotte Ramond, Nadia Ratsimandresy (ondes Martenot) et Vesna (marionnette virtuelle)
à La Scène nationale de Mâcon (71)
le mardi 12 mars 2013 Ã 14h30
le mercredi 13 mars 2013 Ã 15h
et le jeudi 14 mars 2013 Ã 9h30
réservations 03 85 22 82 99
à La Comédie de Reims (51)
le mercredi 22 mai 2013 Ã 15h
le jeudi 23 mai 2013 à 14h30 et à 19h
et le vendredi 24 mai 2013 Ã 14h30
réservations 03 26 48 49 00
Voir un extrait vidéo du spectacle
Créé par Judith Depaule, directrice artistique de la compagnie Mabel Octobre, Même pas morte est une proposition de spectacle innovante basée sur la rencontre des arts de la scène et des technologies numériques (vidéo, animation 2D assistée par ordinateur, animation 3D, effets spéciaux, programmation, jeu vidéo). Il met en scène une marionnette virtuelle, personnage animé en 3D projeté en vidéo et manipulé en direct, qui dialogue avec le public et des acteurs, dans des décors virtuels. La marionnette virtuelle figure une petite réfugiée d’un pays en conflit, placée dans une famille d’accueil d’un pays occidental. Vesna a contracté pendant la guerre de drôles d’habitudes et une vision du monde dont il lui est difficile de se défaire, elle a développé la faculté de disparaître dans ses rêves, diurnes comme nocturnes (dessins animés). Dans leur grand appartement (projections vidéo), ses parents adoptifs (des acteurs en chair et en os) essaient de lui réapprendre à vivre et à oublier la guerre…
Rien n’est morbide dans ce spectacle construit à la perfection avec des images virtuelles. Une pièce où la pudeur des sentiments donne toute sa force à ce grave sujet. Un procédé original entre réel et virtuel qui garde l’émotion intacte et la rend presque palpable. TÉLÉRAMA SORTIR – décembre 2010
Chaque jour l’actualité prouve que les guerres se font au détriment de la population civile, trop souvent au centre du conflit. Quel est le sort de l’enfant durant ces guerres et quelles sont leurs conséquences sur son développement ? Pédopsychiatres et autres spécialistes se penchent depuis longtemps sur la question et font le constat que les traumatismes perdurent et se transmettent d’une génération à l’autre.
L’animation, comme peut le faire la poésie, ouvre un champ onirique, et, en alternance avec d’autres médias, agit à la manière d’un contrepoint. Elle permet, grâce à son « irréalisation » d’ouvrir un champ distancié, déplaçant le drame et la parole dans un ailleurs où tout est possible, laissant la place au merveilleux.
Contact :
01 41 50 38 10
20 rue Rouget de Lisle
93500 PANTIN
www.mabeloctobre.net
camille@mabeloctobre.net
virginie@mabeloctobre.net
Colloque Claude Simon. Les Vies de l’archive (du 27 février au 1er mars 2013)
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Date et lieu :
- mercredi 27 et jeudi 28 février 2013 en Sorbonne – Salle Bourjac – 17 rue de la Sorbonne – 75005 Paris
- vendredi 1er mars 2013 à l’École Normale Supérieure – Salle Dussane – 45 rue d’Ulm – 75005 Paris
Ce colloque du Centenaire (1913-2013) est organisé par Mireille Calle-Gruber, Melina Balcà zar Moreno, Anaïs Frantz et Sarah-Anaïs Crevier Goulet (CREF&G/LF).
Au commencement, et qui commande en tous points l’œuvre de Claude Simon, il y a le travail de l’archive, laquelle relève à la fois de l’historique, du politique et de la poétique.
Car si arkhe signifie l’originaire, le mouvement premier qui commence, arkheion c’est d’abord en grec une maison : maison privée ou maison de fonction des archontes, ces magistrats représentant la loi qui détenaient le pouvoir politique et dont les demeures conservaient le dépôt des documents officiels. Quant à l’Arche biblique, c’est le coffre, « l’arche en bois d’acacia » qui abrite les Tables de pierre ; arca, en latin, désigne aussi une armoire, un cercueil, un réservoir.
L’archive est plus ample que la mémoire, qu’elle garde et dont elle se garde par la construction d’une mise en œuvre de la recherche. L’archive n’est pas tournée vers le passé : son geste archéologique, singulier et immémorial, la requiert au présent de l’écriture et aux voies ouvertes à l’à -venir.
Elle est peut-être bien ce que Claude Simon appelle « le vécu » dont il fait ses romans ; le vécu qui impressionne le corps extérieur à même l’intime, et dont il importe de déchiffrer les traces, nourricières de la vivante relation au monde.
Qu’il s’agisse des archives familiales et de la documentation réunie par l’écrivain, de ses notes pour mémoire, des manuscrits des romans, plans et croquis, de la diversité des genres expérimentés (peinture, photographie, roman, essai, film, scenario, conférence, entretien) ou qu’il s’agisse des œuvres publiées dont chacune est à la fois un accès nouveau au vécu et une ressource pour les romans successifs, on suivra les chemins de traverse que fraye Claude Simon constituant ainsi une archive cohérente et lisible. Entre rassemblement et dispersion, conservation et ruine, science et impressions affectives, institution et interprétation.
Et plus d’une interrogation.
« Comment savoir ? Comment savoir ? Que savoir ? » : ces questions qui scandent La Route des Flandres sont celles de l’archivation et de l’archivable. Elles deviennent les nôtres. Elles habitent la poétique de l’œuvre, par exemple Le Palace avec la guerre d’Espagne, Les Géorgiques avec la vision révolutionnaire de l’Histoire, ou encore la démarche autobiographique qui est au fondement de tous les livres.
« Mais où commence le dehors ? Cette question est la question de l’archive », affirmait Derrida. C’est sans aucun doute la question pour la dynamique de Claude Simon dont les phrases interminablement disponibles mettent à feu et à cendre les mémoires de la mort et les vies de l’archive.
Informations complémentaires :
- programme détaillé disponible en cliquant ici ;
- invitation disponible en cliquant ici ;
- contact : Anaïs Frantz.